06/10/2012
DEMAY: « Le temps qui passe nous fait des farces, il nous mène sur des territoires imprévus. » Du monochrome rouge ou jaune construit comme un puzzle où l’écriture mêlée anime sa surface, au noir et au blanc.
NEUVILLE: La peinture posée c’est faire quitter les cimaises, un compromis où peinture et sculpture se rejoignent. C’est exposer la peinture en objet, proposer aux regards une lecture giratoire et occuper l’espace comme crier.
Une balade dans le temps d’une œuvre où prend place pour la première fois en écho les peintures de Sylvie DEMAY et les peintures dressées de NEUVILLE. Peintures, hors les murs embrassant l’espace de fils invisibles que l’œil tisse d’une œuvre à l’autre, d’un artiste à l’autre; dialogue pictural entre deux peintres permettant à l’imaginaire de prendre place.

http://youtu.be/av2bKW8vImk

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